Ce que la mode délaisse devient, chez Seconde Main, un point de départ. À Antananarivo, la matière se laisse approcher, penser, transformer. Chaque assemblage répond à une mémoire textile : teintes passées, textures brutes, morceaux choisis pour ne plus être tus. Une création Seconde Main interroge sans bruit, et répond avec évidence : faire moins, faire mieux, transformer ce qui reste en ce qui dure.